Aujourd'hui, "liker" ou aimer des publications ou des pages des ONG ou des associations sur les réseaux sociaux sont considérés par leurs chargés de communication comme des actes ou signes d'engagement, qui servent à construire un public, montrer son soutien à un mouvement, et atteindre davantage de personnes à travers leur engagement.
Les opposants à cet engagement "virtuel" le nomment "slacktivism".
Les opposants à cet engagement "virtuel" le nomment "slacktivism".